Appuyez là où ça fait mal. Mardi, à l’Assemblée nationale, Aurore Bergé, la patronne des députés de la Renaissance, vise la faute de la gauche depuis la mi-septembre. « La question des violences faites aux femmes n’est pas un argument électoral » (une pierre dans le jardin de LFI, embourbée dans l’affaire Quatennens), ni un « argument de vente pour accélérer une carrière politique sur l’autel du buzz » (message à Sandrine Rousseau ).
Adrien Quatennens, coordinateur LFI et adjoint du Nord, fait l’objet d’une plainte pour violences contre son épouse, à qui il reconnaît avoir donné une « gifle », et qui l’accuse également de textos trop insistants. Julien Bayou, député EELV de Paris, se défend des accusations de violences psychologiques contre son ex-compagnon, relayées par Sandrine Rousseau. Dans une interview à Monde il a nié les faits pour lesquels il est publiquement mis en cause (sans que la justice soit saisie) et a accusé Sandrine Rousseau d’une « fausse déclaration » de…